Récapitulatif
Un projet d’accord sectoriel pour les années 2021 – 2022 a été conclu dans la commission paritaire auxiliaire des employés (CP 200). Découvrez ici les accords qui sont sur la table.
Il y a deux ans, rares sont ceux qui auraient parié que 90 % des entreprises allaient opter pour une forme de travail hybride. Il s’agit toutefois encore d’avancées prudentes.
Dans cette publication, nous fournissons un aperçu des principaux chiffres clés que nous avons recueillis par le biais de nos études.
Avec l’essor du travail hybride, nous sommes arrivés à un moment charnière dans l’organisation de notre travail. Ce nouveau système peut nous être bénéfique à tous, à condition de l’aborder sous le bon angle. Le travail hybride réunit en effet le meilleur de deux formes de travail : le travail au bureau et le travail à domicile. Grâce à lui, vos collaborateurs sont plus heureux et plus performants.
L’indice d'août a dépassé le pivot du revenu minimum mensuel moyen garanti (RMMMG). À partir du 1er septembre 2021, les montants augmenteront de 2 %.
Le comité de concertation du 20 août 2021 a annoncé qu’à partir du 1er septembre, le télétravail ou le travail à domicile n’est plus recommandé en Flandre et en Wallonie, mais toujours à Bruxelles.
La pandémie de coronavirus et les confinements et assouplissements des mesures qui en ont découlé ont suscité de nombreuses questions en matière de RH au cours des derniers mois. Les travailleurs sont désormais à nouveau autorisés à travailler au bureau, à condition de respecter les mesures du guide générique et les mesures classiques telles que la distanciation sociale et une protection supplémentaire comme des écrans, du gel désinfectant pour les mains, etc. Qu’en est-il alors du télétravail ?
Le travail au bureau présente divers avantages : il permet à vos collaborateurs de se concerter à nouveau en personne, contribue à leur santé mentale, renforce la cohésion sociale, etc. Vous préparez vous aussi le retour au bureau de vos travailleurs après cette période de coronavirus ?
Selon une étude d’Acerta, 1 organisation sur 5 prévoit des mesures pour déconnecter du travail. Le bien-être au travail devient un atout important sur un marché de l’emploi en pénurie.