Un employeur sur deux en Belgique ne propose des formations à ses travailleurs que s’il perçoit des signaux que le travailleur est à la recherche d’un autre emploi.

En mai 2020, des élections sociales seront à nouveau organisées dans nombre d’entreprises. Près de 9 employeurs sur 10 trouvent la procédure actuelle de 150 jours trop longue pour organiser les élections sociales.

L’employabilité durable est plus qu’un sujet d’actualité. Plus de 60 % des employeurs occupent effectivement leurs travailleurs pour différentes tâches au sein de l’entreprise.

La part des jeunes arrivant sur le marché du travail baisse année après année en Belgique. Et ce malgré l’augmentation de l’emploi dans notre pays.

Chaque année, de nouveaux employeurs apparaissent et assurent de nouvelles occupations. Toutefois, ce ne sont pas les seuls qui assurent une croissance de l’occupation.

Les voitures de société émettent aujourd’hui 17 % de moins de CO2 qu’il y a sept ans. Mais cette flotte plus écologique a aussi un coût pour nos entreprises.

Mettre à jour les compétences, pourvoir les postes vacants et conserver les collaborateurs (et leur motivation) constituent les principaux défis auxquels nos entreprises feront face ces deux prochaines années en termes de gestion du personnel.

Le budget mobilité suscite bel et bien l’enthousiasme. Une enquête récente effectuée auprès des employeurs au printemps 2019 montre que 60 % des employeurs prévoient de proposer un budget mobilité à leur personnel.

1 Belge occupé sur 4 n’est absolument pas intéressé par un nouvel emploi. L’intérêt du Belge pour un autre travail a ainsi touché le fond.