Tenez-vous informé, suivez-nous dans la presse : nous donnons une vision claire de l'actualité socio-juridique, une interprétation avisée des réglementations récentes, les résultats de nos recherches ou enquêtes...
Communiqués de presse
Dans la moitié des cas, les gens qui démissionnent le font dans les deux ans. Trois départs volontaires sur dix se font même dans l’année.
Fin juin 2023, l’occupation générale en Belgique est supérieure de 3,8 % à celle de fin juin 2019, soit avant la crise du coronavirus.
Au mois de juin dernier, il y avait près d’un cinquième de personnes actives dans l’horeca en plus par rapport à l’année précédente.
Près des trois quarts des Belges actifs (72,2 %) ne se disent pas contre un changement d’emploi.
Les personnes sans emploi ont moins de chances d’être invitées pour un entretien d’embauche que celles qui occupent déjà un emploi.
Ces deux dernières années, les PME belges n’ont jamais envisagé l’avenir économique de manière aussi positive qu’à présent.
7,6 % des travailleurs ont un flexi-job. C’est presque la moitié de plus qu’il y a un an.
La plupart des Belges ne voient pas l’intérêt de la semaine de travail de quatre jours : six Belges sur dix déclarent qu’ils ne veulent pas ou ne peuvent pas travailler selon ce régime.
Deux mois après l’instauration obligatoire du droit à la déconnexion, près de six travailleurs sur dix sont déjà au courant des directives instaurées par leur employeur à ce sujet.